« Ce sont des collections trop spécialisées, y a-t-il réellement un besoin ? », « ce n’est pas si important », « il n’y a que les muséums qui vous appellent »
Pour les collections d’Histoire naturelle, nous pouvons être sollicités par plusieurs profils :
· le père de famille qui achète une belette naturalisée sur une brocante comme une belle peluche pour ses enfants,
· le pub avec la taxidermie de perroquet (sous cloche) derrière le comptoir,
· le musée de Beaux-arts qui expose de l’uranium parmi une collection de géologie,
· le meuble ancien ayant contenu des herbiers avec biocides (coucou Sarah) servant maintenant pour mobilier de stockage pour l’équipe technique
· etc.
Les régisseurs d'œuvres d'art et professionnels de la gestion de collection sont souvent confrontés à d'autres fonds que les beaux-arts, comme de l'archéologie, des militaria ou des naturalia, notamment dans les musées mixtes. Ces collections présentent de nombreux risques ; nous nous proposons de sensibiliser les actuels et futurs professionnels qui y seront confrontés et de proposer des solutions pour travailler avec ce type d'œuvres en toute sécurité et sérénité, afin de pouvoir les valoriser, sans y laisser ses plumes.
Besoin d’organiser des interventions d’information sur la toxicité des collections ? Contactez-nous !
Crédit : musée du champignon à Saumur qui a trouvé une solution atypique et efficace pour protéger la taxidermie de l’humidité et protéger les publics de ses risques chimiques.
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